Monsieur Patrick COISMAN

Domicilié à Noisy sur Ecole (77123, France)
Né le mardi 3 janvier 1956
Décédé à Fontainebleau (77300, France) le samedi 15 avril 2017 à l'âge de 61 ans
Epoux de Madame Nicole CONSTANTY

Espace condoléances 

Cet espace condoléances a été créé le mardi 18 avril 2017.

In memoriam

Cet espace « condoléances » est dédié à la mémoire de Monsieur Patrick COISMAN. Chacun peut s’y recueillir, déposer une carte de visite ou un message de condoléances. Utilisez les liens ci-dessous pour consulter les marques de sympathie ou intervenir vous-même. 
N’hésitez pas à renseigner cette page à vos connaissances. Ceux qui sont loin ou qui n’ont pas la possibilité de se joindre à la cérémonie trouveront ici une façon simple de montrer leurs sentiments à la famille dans ce moment difficile. 
Merci d’avance. 

23 messages (17 privés)
 
Condoléances 

J'ai vu une nouvelle briller dans le ciel.
Je suis de tout cœur avec toi Nicole et vos enfants dans cette douloureuse épreuve

Amitié Georges B

Georges Badia- 21-04-17

Condoléances 

J'ai appris le décès prématuré de Patrick que j'ai connu lorsque nous étions au Centre de Rééducation Cardiaque de Melun.
Je souhaiterais vous offrir à vous ainsi qu'à votre famille, mes sincères condoléances.

Patrick CAMPOS- 20-04-17

Condoléances 

A mon cher Patrick, en mémoire d'une si sincère amitié. Toutes mes condoléances à sa famille et à ses proches. Christian.

Christian ALLANIC- 19-04-17

Hommage 

Lettre à un ami monteur.
Cher Patrick, les mots, dans la peine je le sais, ne sont que maigre consolation mais dans l’épreuve inéluctable de la mort, ils restent le témoignage doux et attentionné de la communauté humaine pour ceux que la douleur étreint. Je te prie d'accepter aujourd’hui les miens.
C’est Jean-Antoine, qui m'a prévenu dans l’heure de ton décès au téléphone; nos amis communs de France Télévision, par les réseaux sociaux, quelques minutes à peine plus tard. Cette nouvelle a fait le tour de la toile comme une traînée d'étoiles. Nous t'aimions. Pour ma part, je dois te remercier pour ton affection. Alors que tout le monde, dans les salles de montage, m'appelait "Datto", toi tu m'appelais "Doudou"; "mon Doudou". Quelle marque de tendresse ! Quelle pudeur ! Quels bons moments; quel labeur partagé aussi jusqu’à point d’heure…
Dans cette grande bataille pour le droit à l’information télévisée, nous avons ciselé ensemble pendant dix ans les reportages impétueux du magazine Pièces à Conviction qu'il fallait faire, défaire et refaire et re-refaire, pour que coulent limpides les analyses des journalistes jusqu’aux téléspectateurs. C'est cette course farouche pour une télévision de qualité à laquelle je rends également hommage à travers toi. Tu t'y sentais à ta place. Nous y étions tous soudés aux côtés des équipes de rédaction : Olivier notre réalisateur, les musiciens, les autres monteurs, les techniciens ; tous tendus vers cette même cause tacite; la raison même de notre engagement.
Tu as fini par passer la main. Nous la passerons tous. D'ici là, les souvenirs resteront intacts: ta carrure, ton calme, ta pugnacité, ta voix de tonnerre ; ton rire qui nous manquent déjà… Je n’ai pu me déplacer aujourd’hui jusqu’à toi pour ce dernier salut fraternel mais en pensées, et par la voix de notre amie Magali, je suis, à l'heure dite, à vos côtés. « Je ne pouvais pas d’une façon ou d’une autre ne pas y être ! » Permets-moi enfin Patrick, au nom de tes amis de Pièces à Conviction, de présenter à Nicole ta compagne, vos filles et vos familles endeuillées, l'expression de nos plus affectueuses condoléances. Quant à nous deux, il est fort probable que nous nous recroiserons, avec ou sans scalpel, autour d’une assiette de mayonnaise frites, à la cantine de l’une des chaînes satellitaires du ciel. Ton Doudou. Dominique Dattola

Dominique Dattola- 21-04-17

Hommage 

Je ne connaissais pas Patrick, jusqu'au jour où la chaîne de TV France O nous a mis en contact pour le montage d'un film documentaire (2015) qui nous a réunis durant huit semaines. Huit semaines cela peut paraître court, mais dans ce métier cela peut être intense lorsque le projet nous résiste et cela fut le cas. Le film a été interrompu à deux reprises pour raisons "techniques". Si Patrick ne m'avait pas épaulé de son humanité, détermination, professionnalisme et goût pour l'artistique, je me serais retrouvé bien seul. A cette complicité professionnelle s'est agrégée une amitié naissante, ce qui est rare dans ce métier où les relations sont plutôt superficielles, volatiles. J'avais envoyé quelques messages à mon compère pour lui signifier que je pensais à lui pour un autre projet qui n'a pas encore vu le jour. A chaque fois, il m'a fait part de son enthousiasme, sans jamais aborder le mal qui le rongeait, d'où ma stupeur d'appendre sa disparition. Ce sera donc malheureusement sans toi Patrick. Patrick, je n'oublierai jamais ces moments de complicités pour battre en brèche les obstacles qui nous ont permis de mener à bien ce film. Je suis sûr que là-haut, tu te fends bien la gueule, de ton sourire et regard narquois, malgré tout bienveillants, sur les méandres de ce milieu qui nous a réunis. Salut à toi l'ami.

Patrice ROLET- 19-04-17


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